Par Félix Brun –bscnews.fr/ Prenez une cordée de piliers de bar atteinte par « l’aridité chronique du gosier » ; un débit de boisson qui fait figure de verrue dans la « prestigieuse capitale mondiale de l’alpinisme,et « d’erreur de casting entre les boutiques Chanel,Lacoste,Hermès «  . Nos alpinistes de comptoir se surnomment Velasquez (peintre en bâtiment), Léonard de Vinci (inventeur en tout genre et artificier sans garanties), Paratonnerre…..Ils ont déclaré ouvertement leur hostilité au pub anglais qui a ouvert ses portes de l’autre côté de la rue rebaptisée le channel pour la circonstance.

Le lecteur est emporté dans une avalanche de facéties et d’extravagantes situations ; on égratigne la ruée à la mode vers les sommets , les alpinistes d’opérette qui abandonnent détritus et déchets au gré des pentes enneigées et des glaciers souillés. Ce livre est un vrai délire, un remède …